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3 days ago
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Près de 5 millions de téléspectateurs devant le quart de finale de la France contre l'Allemagne à l'Euro
En dépit de leur élimination en quarts de finale de l'Euro contre l'Allemagne (1-1, 6-5 aux t.a.b.), les Bleues ont réuni 4,9 millions de personnes devant TF1, qui a retransmis la rencontre, samedi soir. TF1 s'est assuré 34,3 % de parts de marché samedi soir en retransmettant le quart de finale de l'Euro entre la France et l'Allemagne. Si les Bleues ont été éjectées en quarts de finale de la compétition au bout de la séance de tirs au but (1-1, 6-5 aux t.a.b.), 4,939 millions de personnes étaient devant la chaîne numéro une pour assister à la rencontre. Une belle augmentation en comparaison avec la phase de groupes. À l'occasion de leur entrée en lice contre les championnes en titre anglaises (2-1), l'équipe de France avait rassemblé 2,8 millions de téléspectateurs. Quasiment la même audience que lors de son match suivant face au pays de Galles (4-1), suivi par 2,9 millions de personnes. Les chiffres avaient baissé au cours de sa troisième victoire en poules contre les Pays-Bas (5-2), avec 2,3 millions de suiveurs sur France 2. Il faut dire que les Françaises étaient déjà qualifiées et que la rencontre faisait face à la concurrence de la finale de Coupe du monde des clubs perdue par le PSG.


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3 days ago
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L'élimination face à l'Allemagne, nouvel épisode de la malédiction des tirs au but des Bleues
Depuis son premier quart de finale en compétition internationale, à l'Euro 2009, l'équipe de France féminine n'a que très rarement atteint les demies. La faute, souvent, à l'épreuve des tirs au but, qui ne réussit pas aux Françaises, éliminées de l'Euro samedi soir après une nouvelle séance perdue face à l'Allemagne. Une nouvelle fois, l'équipe de France féminine est tombée en quarts de finale d'une grande compétition, aux tirs au but, face à l'Allemagne samedi soir, éliminée aux portes du dernier carré de l'Euro (1-1, 5-6 t.a.b.). Une situation loin d'être anodine puisque, depuis le Championnat d'Europe 2009, les Bleues ont perdu cinq de leurs six séances de tirs au but dans une compétition internationale (Euro, JO, Mondial), à chaque fois en quarts de finale. Euro 2009 : première désillusion contre les Pays-Bas Défaite en quarts de finale contre les Pays-Bas (0-0, 4-5 t.a.b.)Après une première participation infructueuse au Championnat d'Europe 2005 et une élimination au premier tour, les Bleues parviennent à passer la phase de groupes et disputent leur premier quart de finale contre les Pays-Bas, lors de l'Euro 2009 en Finlande. Les Néerlandaises, 17e nation mondiale, tiennent en échec les Françaises pendant 90 minutes, ainsi qu'en prolongation. Dominante mais incapable de marquer, l'équipe de France finit par céder lors de sa première séance de tirs au but avec un final irrespirable. Les quatre premières tireuses de chaque équipe réussissent leur tentative, puis France et Pays-Bas manquent les quatre tirs suivants, pour finalement un 3e échec consécutif côté français (Candie Herbert) et en face la transformation des Oranje pour un succès 5-4. Mondial 2011 : un succès historique pour une première demie Victoire en quarts de finale contre l'Angleterre (1-1, 4-3 t.a.b.)La première et la dernière fois que l'équipe de France a remporté une séance de tirs au but. À la Coupe du monde 2011, les Bleues sortent sans trembler de leur groupe, terminant 2es derrière l'Allemagne. En quarts, elles tombent contre l'Angleterre, qui vient de battre au premier tour le Japon, futur vainqueur du Mondial. Les Anglaises ouvrent le score par Jill Scott (59e) avant une égalisation à la fin du temps réglementaire d'Élise Bussaglia (88e). Aucune des deux formations ne parvient à inscrire un second but en prolongation et arrive très vite les tirs au but. Les Bleues débutent avec un échec de Camille Abily, tandis que les Lionesses réussissent leurs trois premières tentatives. La France marque sur chacun de ses tirs, jusqu'au cinquième, transformé par Eugénie Le Sommer. L'Angleterre craque et se loupe sur ses 4e et 5e tentatives, pour envoyer la France en demi-finales pour la première fois de son histoire dans une compétition majeure. Euro 2013 : tombées face à la surprise danoise Défaite en quarts de finale contre le Danemark (1-1, 2-4 t.a.b.)Pour la deuxième fois de suite à l'Euro, les Bleues rallient les quarts. En face, le Danemark est un adversaire inattendu, car repêché au tirage au sort des meilleurs 3es de groupe - à égalité de points avec la Russie (2). Les Danoises poursuivent leur rêve en sortant des Françaises qui restaient pourtant sur deux demi-finales de suite en compétition internationale (Mondial 2011 et JO 2012). Au moment crucial, Louisa Nécib et Sabrina Delannoy ratent chacune leur tir pour la France. Seule Theresa Nielsen se manque côté danois, et les Françaises passent une nouvelle fois à la trappe en quarts de finale (1-1, 2-4 t.a.b.). Le Danemark dispute une seconde séance en demi-finales, contre la Norvège, mais verra son parcours s'arrêter là sur le même score que face à la France (1-1, 2-4 t.a.b.). Mondial 2015 : fin de parcours cruelle Défaite en quarts de finale contre l'Allemagne (1-1, 4-5 t.a.b.)La Coupe du monde 2015 inaugure le passage de 16 à 24 équipes en lice, et donc pour la première fois l'étape des huitièmes de finale. En tête du groupe F devant l'Angleterre, à la différence de buts, la France se défait facilement de la Corée du Sud (3-0) pour filer en quarts de finale. Là encore, les Bleues n'arrivent pas à prendre le meilleur sur leur adversaire, l'Allemagne, au cours du temps réglementaire (1-1). Aucun but n'est ajouté au score en prolongation et les deux équipes jouent leur qualification aux tirs au but. Françaises et Allemandes réussissent toutes leurs tentatives, jusqu'à la 5e et dernière tireuse tricolore, Claire Lavogez. La gardienne allemande plonge sur sa gauche et repousse le tir, synonyme d'élimination pour les Bleues. Mondial 2023 : une séance irrespirable face au pays hôte Défaite en quarts de finale contre l'Australie (0-0, 6-7 t.a.b.)L'avant-dernier épisode en date, et pas le moins haletant. Opposée à l'un des deux pays hôtes, l'Australie, la France croit une nouvelle fois en son rêve, tout juste caressé jusqu'alors. Malgré une bonne entame de match, les Bleues reculent de plus en plus face aux assauts australiens et ne se créent que de rares occasions en attaque. Pourtant, ni la France ni l'Australie ne marquent le moindre but en deux heures de jeu (prolongation comprise), sans compter les longues minutes de temps additionnel ajoutées pour cette Coupe du monde. Arrivée la séance des tirs au but, Selma Bacha, Ève Périsset, Kenza Dali (deux fois) et finalement Vicki Becho échouent côté français. Les Australiennes manquent leurs trois premières balles de match mais Courtnee Vine, 20e tireuse de la séance, marque et qualifie son équipe pour les demi-finales, aux dépens des Bleues, abattues. Euro 2025 : à s'arracher les cheveux Défaite en quarts de finale contre l'Allemagne (1-1, 5-6 t.a.b.)C'est une histoire de penalties. Celui inscrit par Grace Geyoro pour ouvrir le score au quart d'heure de jeu face à des Allemandes réduites à dix sur le coup, après un étonnant tirage de cheveux de Kathrin-Julia Hendrich. Celui de Sjoeke Nüsken repoussé par Pauline Peyraud-Magnin à vingt minutes du terme, alors que l'Allemagne, revenue à hauteur via cette même Nüsken dès la 25e, peut prendre l'avantage. Et ceux d'une séance de tirs au but que la France, sortie première de sa poule en battant les deux derniers vainqueurs (Angleterre et Pays-Bas), va moins bien négocier que des Allemandes qui restaient pourtant sur une lourde défaite contre la Suède (1-4). Et donc à dix pendant près de deux heures. Première à s'élancer côté tricolore, Amel Majri échoue après une improbable course d'élan parabolique. L'affaire est alors mal engagée mais Sara Däbritz, quatrième tireuse, ne cadre pas sa tentative côté allemand. Les compteurs sont remis à zéro et il faut tout le sang-froid d'Oriane Jean-François puis Melween N'Dongala pour maintenir les Bleues en vie. Mais, si Nüsken retourne faire face à « PPM » et venge sa tentative manquée un peu plus tôt, Alice Sombath envoie une tentative trop molle facilement repoussée. La France est éliminée.

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3 days ago
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Les notes de France - Allemagne : Kadidiatou Diani-Delphine Cascarino, une attaque insipide
Dans un match riche en rebondissements, les Bleues, en supériorité numérique, se sont inclinées aux tirs au but (1-1, 5-6 aux t.a.b.) face à l'Allemagne à l'Euro. À l'image des performances de Kadidiatou Diani et Delphine Cascarino, l'attaque française, jusqu'alors performante, a failli sans parvenir a bousculé un adversaire en place et dont la gardienne était dans un grand soir. Elle ne peut rien sur l'égalisation de Nüsken (25e) mais réalise une très bonne sortie devant Hoffmann lancée en profondeur (45e + 1). Elle arrête le penalty de la même Nüsken (69e). Une fin de match ensuite très tranquille. Elle est devancée par Nüsken qui arrive dans son dos sur le but de l'égalisation allemande (25e). Offensivement, son apport a été plutôt limité : un bon centre repoussé par la défense allemande (33e) et une reprise sur un corner de Bacha captée par Berger (89e). Remplacée par N'Dongala (112e). Pour son premier match dans cet Euro, la capitaine a obtenu un penalty quand Hendrich, ensuite expulsé, lui a tiré les cheveux (11e). Un bon retour face à Bühl (24e) mais elle lâche Nüsken au marquage sur l'égalisation allemande (26e). Victime de crampes au mollet droit (83e) celui qui a été blessé, elle cède sa place à Sombath. Pour son retour, la Madrilène ne s'est pas toujours montrée impériale. Elle a commencé son match par une superbe interception (7e) mais a ensuite été souvent en difficulté face à Hoffmann. Elle fait action de jeu sur le but de Geyoro refusé (57e). Avertie pour une faute sur Schüller (115e). Ses coups de pied arrêtés qui peuvent habituellement être une arme pour les Bleues ont manqué de précision. Elle provoque surtout le penalty pour l'Allemagne en fauchant Brand (68e). Après sa faute, elle s'est montrée plus concentrée défensivement mais encore très brouillonne offensivement à l'image de ce centre manqué (118e). La milieu n'a pas tremblé au moment de transformer le penalty du 1-0 face à une spécialiste de l'exercice, elle aurait pu signer un doublé (57e) comme être créditée d'une passe décisive (40e). Ses ouvertures ont souvent créé des décalages et elle a connu très peu de déchet. Du haut niveau avant sa sortie pour Majri (112e). La sentinelle des Bleues a joué un rôle important en assurant l'équilibre de l'équipe. Capable de bien orienter le jeu, elle a aussi fait parler son sens du placement pour récupérer des ballons et faire en sorte de toujours pouvoir aider ses coéquipières. Son impact a aussi apporté. Très remuante, la milieu n'a cessé de proposer des solutions, percuter et se projeter. Elle a aussi obtenu plusieurs fautes, gratté bien des ballons, et a été très souvent juste techniquement. Et elle s'est montrée constante tout au long du match. Auteure d'une performance majuscule face aux Pays-Bas, l'ailière a failli marquer un but superbe, refusé de peu pour hors-jeu (40e). Une belle frappe repoussée par Berger (56e), mais ce fut à peu près tout. Décevante, elle n'a pas assez mis en difficulté la défense allemande. Relayée par Malard (77e). L'attaquante a été très précieuse dans le jeu. Elle a calé beaucoup de ballons en remise, a été utile par ses déviations et son pressing. Elle aurait mérité de marquer, mais Berger a magnifiquement repoussé sa reprise de la tête (57e). Remplacée par Mateo (77e), invisible. Comme à son habitude, l'attaquante s'est battue sur tous ses ballons, comme sur cette action où elle résiste à plusieurs adversaires (33e). Mais elle n'a débordé (45e + 1) et tiré (62e) qu'une fois, et a été trop discrète offensivement. Relayée par Baltimore (67e, note : 3), en grosse difficulté elle aussi. Sa décision de titulariser Diani plutôt que Baltimore qui avait engrangé un temps de jeu conséquent en phase de groupes n'a pas fonctionné. Plus globalement, ses ailières n'ont pas été convaincantes et ses changements n'ont pas porté leurs fruits. Kathrin Hendrich n'est pas notée, mais la défenseuse aurait mérité un 0 car son tirage de cheveux sur Griedge Mbock était improbable et lourd de conséquence : carton rouge et penalty pour la France. Si elle a manqué le penalty du 2-1, Sjoeke Nüsken (5) a fait preuve de malice pour relancer l'Allemagne en échappant au marquage de Mbock pour couper, de la tête, la trajectoire du ballon sur l'égalisation (69e). Préférée à Schüller en pointe, Giovanna Hoffmann (6) a fait mal par ses appels et sa puissance. Enfin, dans le but, Ann-Katrin Berger (9) a réalisé plusieurs arrêts déterminants et de grande classe dont deux pendant la séance de tirs au but. À lire aussi Peyraud-Magnin, du rêve au cauchemar Comment les Bleues se sont donné des ailes Pourquoi Aubameyang a choisi de revenir Le débrief de Houara-d'Hommeaux


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3 days ago
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« Il y a des regrets » : Laurent Bonadei déçu après la défaite de la France face à l'Allemagne en quarts de l'Euro
La France s'est inclinée aux tirs au but contre l'Allemagne, en quarts de l'Euro, ce samedi soir (1-1, 5-6 t.a.b.). Le sélectionneur Laurent Bonadei ne cache pas sa frustration mais loue un adversaire « héroïque ». Laurent Bonadei, après la défaite des Bleues en quarts de l'Euro contre l'Allemagne, au micro de TF1 : « De la déception et de la tristesse, on sait qu'on avait fait le plus dur en ouvrant le score. L'Allemagne a été héroïque. Les tirs au but, c'est difficile. C'est dommage pour Alice (Sombath, qui a manqué le tir décisif), elle est jeune et elle apprend. Il faut tirer un coup de chapeau à cette équipe d'Allemagne. Il y a des regrets parce que quand on est à 11 contre 10, sur les coups de pied arrêtés, il n'y a plus d'infériorité, il y a égalité... On a manqué un peu de justesse technique dans la zone de finition. On a eu du mal à trouver la faille. Cette équipe d'Allemagne a bien défendu, c'est dommage. Il ne manquait pas grand-chose. Après ce qu'on a vécu en phase de poules, je trouvais qu'on montait en puissance. C'est une déception parce qu'on y croyait. « Dans ces matches-là, ça se joue à des détails » Laurent Bonadei Je sais que dans cette équipe il y a pas mal de jeunes, cette équipe est en évolution, elle progresse. Quand on me demandait si on était favoris, je disais qu'on était outsiders. Dans ces matches-là, ça se joue à des détails, on n'a pas su profiter de cette supériorité numérique. » Grace Geyoro, au micro de TF1 : « C'est très cruel. C'est très difficile, c'est encore chaud. On ne réalise pas. Beaucoup de déception, de frustration. On a tout donné, on a tout fait, on se demande quand ça va nous sourire, c'est le football, on ne peut pas tout gérer, tout régler. Mais, oui, déçues. »

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3 days ago
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Peyraud-Magnin entrée dans l'histoire des Bleues contre l'Allemagne mais pas décisive lors de la séance de tirs au but
Autrice d'un arrêt sur le penalty de Sjoeke Nüsken durant le temps réglementaire, la gardienne de l'équipe de France n'a rien pu faire durant la séance des tirs au but où elle n'a stoppé aucune tentative. Il y a deux ans, lors de la Coupe du monde en Australie, Hervé Renard avait prévu un plan en cas de séance de tirs au but : remplacer Pauline Peyraud-Magnin dans le but par Solène Durand, la troisième gardienne. Le plan de l'ancien sélectionneur des Bleues avait presque fonctionné puisque Durand avait repoussé deux tentatives adverses en quarts de finale face aux Australiennes, qui s'étaient finalement qualifiées (0-0, 5-6 aux t.a.b.). Samedi soir, la gardienne de la Juventus a prouvé qu'elle pouvait, elle aussi, briller sur penalty. Alors que Selma Bacha venait de faucher Jule Brand dans la surface française (68e), l'arbitre n'a pas hésité à désigner le point de penalty, où Grace Geyoro avait posé le ballon pour tromper Ann-Katrin Berger, la gardienne allemande, en première période (14e). Sjoeke Nüsken, buteuse en première période, s'est avancée pour tirer, a choisi le côté gauche de Peyraud-Magnin qui a donc détourné la tentative de l'Allemande, avant qu'Elisa De Almeida ne dégage le ballon. Folle de joie, Bacha a sauté sur sa gardienne, lui faisant même un peu mal sur le coup. Son premier penalty arrêté avec les Bleues Pour sa 69e sélection, Peyraud-Magnin a réalisé une première puisqu'elle n'avait jamais arrêté un penalty sous le maillot de l'équipe de France. Elle est même la première gardienne tricolore à y parvenir depuis Sarah Bouhaddi, en mars 2017 contre l'Allemagne (0-0) lors de la She Believes Cup, un tournoi amical (selon le média spécialisé Footoféminin). « Lors de matches très serrés cette saison, j'ai réussi à sortir l'arrêt qu'il fallait et être décisive à des moments clés », confiait-elle récemment à l'AFP en évoquant sa progression, notamment sur l'aspect mental. Avant son arrêt, « PPM » avait plutôt passé une soirée tranquille, même si elle avait cédé sur la tête de Nüsken sur corner sans vraiment pouvoir intervenir. Elle a ensuite plutôt bien géré les quelques ballons en profondeur de l'Allemagne. En début de semaine, la gardienne avait connu une petite alerte et avait dû soigner une béquille reçue lors de la victoire des Bleues face aux Pays-Bas (5-2, dimanche dernier). Sa participation au quart de finale n'avait pas été remise en cause et elle s'est tranquillement préparée pour cette rencontre décisive, elle qui n'avait pas joué le quart de l'an dernier face au Brésil (0-1) aux Jeux Olympiques en raison d'une blessure à un oeil. Cette fois-ci, elle était bien présente et a pris ses responsabilités. Malgré le kop français dans le dos qui l'acclamait, la gardienne française a été prise à contre-pied par Janina Minge, la première tireuse allemande, puis a été de nouveau battue par Linda Dallmann qui a tiré en force, avant d'être de nouveau prise à contre-pied par Rebecca Knaak. La tentative de Sara Däbritz a trouvé la transversale, redonnant espoir à tout le clan français. Berger, la gardienne allemande, Klara Bühl puis Nüsken ont marqué à leur tour, sans que « PPM » ne puisse se montrer décisive dans cette séance qui s'est terminée par la tentative manquée d'Alice Sombath. À lire aussi Peyraud-Magnin : « Pardon, c'est moi qui joue contre le Brésil ? » Comment les Bleues se sont donné des ailes Pourquoi Aubameyang a choisi de revenir Le débrief de Houara-d'Hommeaux